Site créé le 24 octobre 2004 | Modifié le 16 janvier 2006 |
Plus d'information! | Table des matières | Page de couverture |
---|
Thèse de Pharmacie présentée à
la Faculté de pharmacie de Strasbourg
pour obtenir le grade de
Docteur de l'Université
par
Maurice
Alliot
L'exploration
fonctionnelle hépatique par l'épreuve de la phénoltétrabromophtaléine
disulfonée
soutenue le 11 juillet 1950
devant la commission d'examen
:
Cordier, P., président
Placé au
carrefour de voies circulatoires importantes, le foie représente le grand
système de relais de tout le métabolisme intermédiaire de l'organisme.
Il
contrôle les entrées venant de l'intestin et ne laisse passer la plupart des
substances qu'après leur avoir fait subir, au niveau de ses cellules de
nombreuses transformations. Ce fait domine toute la question de la physiologie
normale et pathologique du foie. Mais si l'on peut dire que presque toutes les
substances qui trouvent leur utilisation dans le métabolisme énergétique
subissent une modification quelconque au niveau des cellules hépatiques, il est
cependant indéniable que le contrôle exact de ces transformations biologiques
nous échappe encore bien souvent, à cause de l'imperfection de nos méthodes de
recherche.
La
physiologie s'est d'abord servie de l'étude des fonctions sécrétoire et
excrétoire par la méthode des fistules et par la comparaison du sang portal et
du sang sus-hépatique à l'aide des méthodes héroïques que nous devons à
MAGENDIE et à Claude BERNARD ; elle est ensuite revenue à des méthodes plus
fines, telles que la fistule d'EcK, établissement d'un court-circuit sanguin
qui permet de se rendre compte de l'importance et de l'étendue des fonctions
antitoxiques du foie. Les analyses du sang et des urines dans les affections
spontanées et provoquées du foie, la perfusion artificielle du foie isolé,
l'analyse chimique et histologique. combinée du tissu hépatique, l'extirpation
du foie enfin, introduite plus récemment en physiologie hépatique ont permis de
mieux comprendre le rôle primordial que joue le foie dans le métabolisme.
Rappelons,
pour mémoire, que parmi les principales fonctions du foie figurent les
fonctions biliaire, glycogénique, uréopoïétique, antitoxique et martiale. Il
joue un rôle fondamental également dans le métabolisme des lipides, de l'acide
urique, des protides et en particulier de la sérine (le cirrhotique perd, en
général, le pouvoir de former de la sérumalbumine), de la prothrombine et du,
fibrinogène, ainsi que dans la désamination. Cette liste n’a pas la prétention
d’être complète et si d’autre organes interviennent, sans aucun doute, dans
certaines de ces fonctions, les progrès de la physiologie nous laissent
entrevoir chaque jour l’intervention du foie dans beaucoup d’autres
phénomènes physiologiques. D'ailleurs
celui-ci est un des rares organes dont l'ablation totale, chez les Mammifères
tout au moins, entraîne la mort dans les quelques heures, par chute de la
glycémie mais également par accumulation de produits toxiques dans l'organisme.
Signalons,
à propos des fonctions du foie, que si tous les physiologistes répètent que
c'est le rein qui réalise la synthèse de l'acide hippurique dans l'organisme, à
la suite des expériences de BUNGE et SCHMIEDEBERG par perfusion d'organe isolé
chez le chien, on a constaté depuis que chez le lapin cette synthèse dépend des
reins mais également du foie et que chez l'homme, elle est sous la dépendance
prépondérante du foie. En effet, bien qu'une déficience rénale fasse diminuer
la quantité d'acide hippurique excrétée par action peut-être sur la synthèse,
par action en tout cas certaine et directe sur l'excrétion, cette quantité
excrétée dépend avant tout de la quantité de glycocolle que libère le foie. Et
QUICK a vérifié que l'hippuricurie provoquée, laquelle atteint normalement 4
grs en 4 heures après ingestion de 6 grs de benzoate de soude, est en liaison
étroite avec la capacité fonctionnelle hépatique et décroît parallèlement à
celle-ci.
L'énumération
rapide des fonctions du foie montre que le parenchyme hépatique fait subir aux
substances qui le traversent, qu'elles viennent du métabolisme alimentaire par
la veine porte après avoir franchi la barrière intestinale ou de la circulation
générale par l'artère hépatique, un sort très variable. Les unes sont arrêtées,
les autres subissent une conjugaison qui les rend inoffensives, les troisièmes
enfin sont simplement éliminées. Ce sont sur ces trois principales fonctions :
fonction d'arrêt, fonction de conjugaison et fonction d'élimination, que la
chimie biologique orienta ces recherches en vue d'obtenir des épreuves
d'exploration fonctionnelle hépatique permettant, par des gradations diverses,
d'obtenir des points de repère pour poser des diagnostics ou des pronostics
différentiels.
Nous
n'envisagerons ici que l'étude de la fonction d'élimination ou d'excrétion du
foie.
Après un
rappel historique sur les méthodes d'exploration fonctionnelle hépatique du
point de vue de l'élimination et de l'excrétion et après avoir mentionné les
différentes substances utilisées dans ce but, nous examinerons dans ce travail
l'application des principaux colorants, d'abord celle de la
phénoltétrachlorophtaléine et du rose Bengale avant d'étudier d'une façon plus
approfondie l'emploi de la phénoltétrabromophtaléine disulfonée
(BromSulfone-Phtaléine) dont l'emploi s'est révélé très intéressant.
Nous
exposerons donc les recherches expérimentales personnelles que nous avons
faites sur la synthèse de ce composé que nous avons été amené à étudier d'une
façon approfondie et sur l'examen de la valeur clinique de cette substance
ainsi que sur son mécanisme d'élimination.
Notre
travail peut, être divisé en quatre parties :
1re Partie
: Historique sur les méthodes d'exploration hépatique et sur les substances
employées à cet effet.
2me Partie
: Etude chimique de la phénoltétrabromophtaléine disulfonée. 3me Partie :
Recherches approfondies sur la valeur clinique de cette substance et sur son
mécanisme d'élimination.
4me Partie
: Conclusions
L'exploration
fonctionnelle hépatique par des méthodes chimiques ou, en fait par des procédés
de laboratoire, offre des difficultés inaccoutumées pour plusieurs raisons.
L’une de celles-ci est la fait qu’alors que la multiplicité des fonctions
accomplies par le foie peut dans certains cas être également touchée en cas de
désordre hépatique, il est certains que dans d’autres cas une ou plusieurs de
ces fonctions peuvent être indemnes ou atteintes à des degrés différents. De
plus le foie est si intimement associé à d’autres organes dans certains aspects
de sont activité fonctionnelles, foie et reins étant par exemple les deux
principaux organes d’excrétion chez l’homme, que, au cours de l’exploration de
ses fonctions, il est difficile et même parfois impossible de délimiter
strictement le facteur hépatique. D'autre part le foie possède une réserve
fonctionnelle énorme et un, remarquable pouvoir de régénération. On a pu
démontrer expérimentalement que quelques semaines après l’enlèvement d'un lobe
entier, le foie peut avoir repris ses dimensions primitives Et même, au moyen
d’opérations consécutives et de procédés inhibant cette tendance à la régénération,
le parenchyme hépatique totale peut supporter, d’une façon permanente une
réduction égale à 15% de sa valeur normale sans atteinte sensible de la
capacité fonctionnelle hépatique à condition toutefois qu’un régime diététique
convenable soit observé, car, dans de tels cas, la capacité de résistance du
foie reste inférieure à la normale l’existence d’une telle réserve
fonctionnelle permet d’expliquer l’insuccès fréquent d’une mise en évidence
d’une atteinte fonctionnelle même en présence d’altérations anatomique
prononcées, les quelles peuvent provenir soit du foie lui-même, soit
secondairement de lésions des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Ceci
est particulièrement vrai dans des états chroniques tels que cirrhose,
syphilis, néoplasme, etc., les quels, à cause de leur évolution relativement
lente, sont associés à une régénération de compensation concomitante du tissu
hépatique avec capacité fonctionnelle hépatique peu ou pas atteinte. Par contre
dans les atteintes hépatiques diffuses telles que l’atrophie jaune aiguë,
l’hépatite aux arsénobenzols ou l'intoxication par le phosphore ou le
chloroforme, l'exploration des fonctions hépatiques donne des résultats plus
constants.
Il ne faut
jamais oublier que les épreuves fonctionnelles du foie doivent être infiniment
nombreuses si on désire explorer toute la série des fonctions particulières
dévolues à cet organe. Plus les recherches sont fines, plus leur utilisation
est strictement limitée au but précis qu'elles envisagent et moins elles
permettent d'en inférer à l'état des autres fonctions du foie. La synergie
hépatique ne s'observe pratiquement que dans l'ictère grave où toutes les
fonctions s'effondrent à la fois ou successivement. Dans la petite insuffisance
hépatique on décèle un trouble de la fonction chromagogue sans trouble souvent
du métabolisme des glucides ou des protides ni même sans trouble biliaire. Mais
si l'on prend, par contre, une fonction précise, telle que l'excrétion
biliaire, on observera très vite que ses altérations possibles ne correspondent
pas nécessairement à des perturbations dans les autres fonctions.
Au
contraire dans certaines cirrhoses la fonction chromagogue est peu touchée et
les autres fonctions beaucoup plus. De même dans l'exploration fonctionnelle
rénale, au cours de néphrites légères, l'urée, la P.S.P., la constante d'Ambard
et les épreuves de Volhard ne fournissent pas toujours des résultats
concordants. Dans l'ensemble chaque groupe de maladies hépatiques touche plus
ou moins spécifiquement une ou plusieurs fonctions en laissant les autres
intactes. Il faut savoir ce que l'on peut attendre de chaque test et s'il est
capable de répondre aux questions posées. La clinique constate, quant à elle,
qu'un foie est malade ou non, mais le plus souvent elle reste incapable de
préciser s'il est ou non insuffisant pour une fonction déterminée. Mais si les
épreuves fonctionnelles donnent tantôt des résultats concordants, tantôt
discordants, cela ne veut pas dire qu'elles s'opposent et s'excluent comme ont
voulu le prétendre certains. C'est tout simplement qu'elles s'adressent à
différentes fonctions du foie. Dans bien des cas on constate que les
altérations fonctionnelles ne sont pas globales mais dissociées et que les
troubles des différentes fonctions sont inégaux tant dans leur intensité que
dans leur durée.
FIESSINGER
a longuement insisté sur le fait que la même maladie, chez le même sujet, à des
époques différentes de son évolution montre un fonctionnement hépatique
dissemblable et que la même maladie à la même époque de son évolution donne
chez des sujets différents une note hépatique différente. Ces constatations
montrent que l'examen clinique du malade est et restera toujours décisif, lui
seul pouvant tenir compte des symptômes, de leur ordre d'apparition, de leur
durée, de la déficience possible d'autres organes et de l'évolution. Une
atteinte hépato-cellulaire, par exemple, n'exclut pas la présence possible
d'une obstruction des voies biliaires. On reproche souvent en médecine, aux
épreuves fonctionnelles, la nécessité de les interpréter. C'est oublier que
celles-ci n'ont et n'auront jamais la prétention de tout résumer en un chiffre.
Elles ne sont qu'un élément d'information, valable seulement en fonction de
l’époque à laquelle, elles sont faites, au même titre qu'un examen radiologique
par exemple, et c’est au clinicien, en dernier ressort, qu'il appartient à
l'aide de ces éléments et par leur interprétation et leur utilisation à bon
escient, de porter un diagnostic et un pronostic ainsi que d'établir et de
suivre les effets favorables ou non d'un traitement. C'est desservir les
épreuves de laboratoire que de leur demander plus qu'elles ne peuvent donner
mais c'est desservir la médecine que de la priver de l'aide qu'elles peuvent
lui apporter.
Toutefois
s'il est impossible d'obtenir, par un examen unique, des renseignements
valables pour toutes les fonctions du foie, celles-ci dans leur délimitation
dernière, sont tellement nombreuses, qu'il est à peu près impossible de les
étudier toutes dans chaque cas particulier. Force est donc de simplifier et
d'en venir à des recherches ou épreuves-types comme cela a été fait pour les
reins. Le choix délibéré d'une épreuve répondant à une des plus importantes
fonctions du foie, la fonction d'élimination, s'écarte peut-être parfois des
lésions anatomiques qui sont le plus souvent à la base des troubles hépatiques.
Mais il semble que les résultats remarquables obtenus dans l'étude des maladies
rénales uniquement par la constatation de troubles physiopathologiques,
permettent d'emprunter pour l'examen du foie des méthodes analogues.
Le test
idéal hépatique devrait avoir les qualités suivantes :
1)
Indiquer
dans des limites étroites la quantité exacte de travail fourni par le foie
normal dans des conditions normales ;
2)
Indiquer
fidèlement les variations de son fonctionnement dans des conditions anormales,
expérimentales ou cliniques ;
3)
Indiquer les
troubles fonctionnels strictement selon leur degré et leur caractère,
indépendamment de la possibilité de leur mise en évidence par l'histologie ;
4)
Indiquer la
capacité fonctionnelle du foie quels que soient les éléments des troubles
partiels ;
5)
Ce test ne
doit exiger qu'une technique très simple, facile à mettre en œuvre, dont
l'emploi même répété ne provoque pas de trouble hépatique et dont le résultat,
facile à interpréter, doit pouvoir s'exprimer en chiffres et être spécifique,
c'est-à-dire ne concerner que les troubles hépatiques eux-mêmes.
Or nous avons vu, au cours de l'étude expérimentale et
clinique du test de la B.S.P., que celui-ci se rapproche beaucoup de ces
exigences. Tous les auteurs s'accordent en effet à reconnaître une innocuité totale
de la B.S.P.: absence de réaction locale, absence de thrombose, absence de
lésion des cellules hépatiques traversées par le colorant, ainsi qu'une
fidélité, au sens étymologique du mot, et une sensibilité plus élevée que pour
la P.T.C.P., le R.B. et les autres tests hépatiques. Ceci en accord d'ailleurs
avec la vitesse et le taux d'élimination biliaire plus élevés pour la B.S.P.
que pour les autres colorants. Il se peut qu'un jour l'étude pharmacologique
systématique d'autres séries de substances, voisines ou différentes des
phtaléines, permette de découvrir un ou plusieurs corps s'éliminant encore plus
sélectivement par la bile. Il se peut également qu'un jour, à l'exemple des
recherches en cours sur l'exploration rénale par les épreuves telles celle de
REHBEBG à la créatinine, ou celle au mannitol-acide para-aminohippurique,
permettant de déterminer séparément les fonctions rénales glomérulaire et
tubulaire, des substances permettent l'exploration hépatique séparée des
systèmes hépatocellulaire et kupfférocellulaire. Existe-t-il des maladies des
cellules étoilées du foie et peut-on les distinguer des maladies du parenchyme
hépatique ? Il reste encore impossible de l'affirmer mais quoiqu'il en soit, à
l'heure actuelle, le test de la B.S.P., surtout avec injection de 5 mmgrs par
kilo, reste 1 épreuve d'exploration de la fonction d'élimination du foie la
plus sensible et la plus facile à mettre en œuvre.
Le test d'excrétion de la bilirubine, proposé en 1927 en
Allemagne par EILBOTT, après injection de 1 mmgr. par kilo en solution
alcaline, reste techniquement difficile, inutilisable également en cas
d'ictère, et moins sensible que la B.S.P. dans la pratique clinique courante.
D'ailleurs en injectant en même temps B.S.P. et bilirubine, CANTAROW et WIRTS
ont constaté que l'élimination de la B.S.P. reste pratiquement égale (seule :
48,7 à 74,7 % . avec bilirubine : 50,1 à 96,1 %) alors que 1’élimination de
bilirubine est diminuée (seule : 61 à 100 % , avec B.S.P.: 40,9 à 52,5 %).
Quant au test du R.B. nous avons vu qu'il était cliniquement et surtout
techniquement inférieur à la B.S.P. et on peut regretter que l'école française
l'ait adopté, par raison surtout de commodité, ce colorant étant fabriqué en
France alors qu il fallait «faire venir d'Amérique dans des conditions
onéreuses » la P T C P et la B.S.P. D'ailleurs en Amérique le R.B. est, à
l'heure actuelle, pratiquement abandonné si ce n'est par quelques médecins de
San Francisco, élèves de KERR et de DELPRAT. Tout dernièrement, comparant sur
les mêmes malades, hépatiques, B S P et R.B., MONROE et HOPPER ont obtenu 41,7
% plus de résultats positifs avec la B.S.P., laquelle, ajoutent-ils, est
techniquement supérieure, qu'avec le R.B.
Dans une vue d'ensemble la B.S.P. apparaît comme un des tests
diagnostiques d'insuffisance hépatique les plus fidèles. Il peut être mis en
parallèle avec les tests de floculation mais reste plus sensible que ceux-ci
pour diagnostiquer l'atteinte hépatique au stade pré ou post-clinique, par
exemple pour déceler les manifestations éloignées d'une hépatite infectieuse.
Il a également une valeur pronostique aussi grande sinon supérieure pour
apprécier la gravité d'une cirrhose à l'aide d'examens répétés. Par contre ce
test est sans intérêt en général dans les ictères car la rétention de B S P est
parallèle à celle de la bilirubine. C'est donc surtout aux tests de floculation
qu'il appartiendra d'aider au diagnostic différentiel entre les ictères par
hépatite et par obstruction. Il ne faut toutefois pas oublier l'importance du
facteur temps dans le test de la B S.P. car nous avons vu que l'on peut en
faire varier à volonté la sensibilité en allongeant ou au contraire
raccourcissant les temps de prélèvement.
Pour conclure, on peut dire qu'on constate que c’est dans
le domaine biologique que l'on trouve les marques initiales des
troubles-hépatiques, puis ceux-ci s'accroissant, les signes cliniques
traduisent au grand jour l’atteinte de l’organe, souvent intense à ce stade,
particulièrement s’il s’agit d’états chroniques. L’importance de déceler et
d'évaluer une atteinte hépatique chronique au début, puisqu'un traitement
intensif peut arrêter le développement d’une hépatite chronique ou d'une
cirrhose, les conséquences graves de l'atteinte hépatique et par conséquent la
nécessite de la dépister le plus précocement possible ont, dès le début, imposé
au premier plan l’exploration fonctionnelle du foie. Sa très grande importance
a suscité d'innombrables travaux et de multiples discussions. Les acquisitions
physiologiques récentes ainsi qu’un contrôle anatomo-clinique. Malgré
l’asynergie fonctionnelle du foie on constate que dans l’insuffisance hépatique
le trouble de la fonction d’élimination du foie ou plus exactement de la
fonction chromagogue est le plus fidèle et le plus souvent touché. Le test de
la B.S.P. dans l’exploration hépatique l’exploration hépatique constitue par
conséquent un test de base.
Mots clefs : test / exploration / BSP / élimination / méthode /
hépatique / biliaire / rénale / excrétion / bilirubine / synthèse / rein / physiologie /
ictère / hépatite / colorant / cirrhose / foie / hépatique / regénération / parenchyme /
malade / lésion / diagnostic / chromagogue / altération / traitement /
phénoltétrabromophtaléine / perfusion / mécanisme / hippurique / hépatocellulaire /
floculation / fistule / déficience / alliot / cordier
|
visiteurs |
---|