Feugueur : Travaux scientifiques
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Analyse et liste des travaux scientifiques et techniques

 

de

 

Léon Louis Feugueur

Ingénieur-géologue au bureau de recherches géologiques et minières

 

 

La liste des, travaux donnée plus loin nécessite une analyse sommaire :

Passionné de géologie depuis l’enfance, sans pouvoir poursuivre mes études universitaires pour raisons familiales, j’ai eu la chance de rencontrer les frères Morellet en 1939, qui m’ont présenter à MM. R. Abrard et R. soyer et j’ai pu, ainsi, chaque fois que cela m’a été possible, travailler au Laboratoire de Géologie du Muséum.

 

La guerre, la déportation, n’ont arrêté qu’en partie mon activité géologique qui s’est poursuivie de façon latente pendant la résistance. J’étais à l’époque en relation, sous un nom de guerre, avec L. Morellet, qui a présenté ma première note fondamentale sur le niveau d’Hérouval, alors que la libération me retenait encore loin de Paris (combattant volontaire de la Résistance).

 

Libéré de mes activités militaires et cherchant à m’orienter vers la géologie, je fus amené, sous la direction de M. R. Soyer, à réorganiser, de 1946 à 1947, la section de Géologie-Géochimie au Palais de la Découverte. C’est donc ainsi à M. R. Soyer que je dois mon orientation définitive vers la géologie.

 

Une place d’Ingénieur-Géologue me fut proposée en 1947 au Bureau de Recherches Géologiques et Géographiques (B.R.G.G.). Je débutais alors avec M. G. Lecointre qui était à cette époque Chef du Service de documentation (M. L. Guillaume, Ingénieur en Chef, M. Ed. Friedel, Directeur Général et M. J. Goguel, Directeur Adjoint).

 

Je fus chargé de recueillir la documentation sur les forages (loi de 1944 et code Minier sur les ouvrages souterrains) dans le Bassin de Paris, en ayant la responsabilité des départements de la Seine, Seine-et-Oise, Seine-et-Marne, Oise et Aisne.

 

Pendant plus de dix ans je pus ainsi me consacrer entièrement à la recherche sur les assises tertiaires et préparer une thèse sur l’Yprésien du Bassin parisien. Ce travail, qui est en réalité une révision de l’Eocène inférieur franco-belge, a été présenté à la Sorbonne le 17 février 1958, devant :

MM. L. Lutaud, Président

P. Pruvost, Rapporteur

L. Barrabe, Examinateur

R. Abrard, Examinateur

Pour l’obtention du titre de Docteur de l’Université de Paris.

 

A partir de cette date, tout en continuant mes recherches sur le Bassin de Paris, j’ai organisé un Service de Géologie Appliquée aux Travaux Publics, dont le besoin se faisait et se fait encore sentir de plus en plus.

 

Je fus amené, et très souvent en étroite collaboration avec M. R. Soyer, à étudier des problèmes de structures dans le Bassin de Paris, en France et à l’Etranger.

 

Ces études m’ont d’ailleurs permis de mieux connaître la géologie régionale, tout en me permettant d’apporter ensuite une contribution personnelle : Principauté de Monaco – Bas-Languedoc – Hautes-Alpes.

 

Mots clefs : activité / bas-languedoc / bassin / documentation / étude / géologie / hautes-alpes / laboratoire / minier / monaco / muséum / oise / palais / paris / recherche / seine / seine-et-marne / seine-et-oise / service / travaux / yprésien / feugueur






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